Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
C’est à l’origine un ancien oratoire dédié à la Vierge (« Notre Dame des Sept Douleurs » au XVIIème siècle) encore appelé « Chapelle Notre Dame du Gressier ou Graissié». Elle tient ce nom de son emplacement. Le site du Gressier est une vaste plaque rocheuse sur laquelle les paysans du village étalaient leurs récoltes de figues qui, séchées, constituaient, avec les châtaignes et les haricots, la base de leur nourriture hivernale. Les années passant, la toiture a été réparée à 3 reprises: la voûte est maintenant consolidée. A cette époque, les habitants de Roccasparviera et ceux de Coaraze aimaient s’y retrouver pour prier. Son décor intérieur de fresques date de 1962 et a été réalisé par l'artiste sévillan Angel Ponce de Leon. Elles sont en camaïeu de bleus et représente la vie du Christ.
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Angelo Ponce de Léon, né à Séville en 1925, a quitté l'Espagne en 1948, après des études à l'Ecole des Beaux-Arts de Madrid. Son périple personnel et artistique l'amène d'abord en Amérique du Sud. Il y vit un temps et expose à Buenos Aires, Rio de Janeiro et Quito. En 1951, il s'installe en France, à Cagnes-sur-mer. Angel Ponce de Leon expose alors à Nice, Menton, Toulouse, Paris. Il travaille avec Jean Cocteau à Cap-Ferrat et Marbella et collabore, à Saint-Paul-de-Vence, avec Braque dont il subit l'influence.
Il se déplace alors régulièrement aux Etats-Unis puis s'y installe. En 1963, il participe à la " Mary Washington Annual " avec Tàpies, Sam Francis, Vieira da Silva. Il expose à New-York, Cincinnati (Ohio), Dallas (Texas), Washington DC.
Marqué par le travail d'Auguste Herbin, Angel Ponce de Leon fait de l'abstraction géométrique depuis 1962. Sa palette est d'une densité extrême, presque obscure, comme si elle appelait à aller voir ce qui se passe à l'intérieur de la peinture, comme s'il s'agissait d'approcher l'intime d'un paysage ou d'un personnage. La rigidité des lignes droites est toujours contestée, assouplie, par un cercle qui dans les œuvres figuratives deviendra, ballon, lune, cul, ventre. Et puis le clair et le sombre qui se partagent et fracturent souvent son œuvre. Sol y sombra.
Marqué par le travail d'Auguste Herbin, Angel Ponce de Leon fait de l'abstraction géométrique depuis 1962. Sa palette est d'une densité extrême, presque obscure, comme si elle appelait à aller voir ce qui se passe à l'intérieur de la peinture, comme s'il s'agissait d'approcher l'intime d'un paysage ou d'un personnage. La rigidité des lignes droites est toujours contestée, assouplie, par un cercle qui dans les œuvres figuratives deviendra, ballon, lune, cul, ventre. Et puis le clair et le sombre qui se partagent et fracturent souvent son œuvre. Sol y sombra.
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs CoarazeDécorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs CoarazeDécorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Les fresques de Ponce de Léon représentent la Crucifixion et la Résurrection du Christ (à gauche), la Nativité (à droite). Elles sont exécutées dans un camaïeu de bleu d’où son surnom de « Chapelle Bleue ». En 1992, le peintre Ponce de Léon est venu restaurer les fresques. L’artiste a donné des conseils pour l’achèvement de la restauration.
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs CoarazeDécorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Nous sommes interpellé par ce porche, carré et puissant , nous ferons le lien avec La chapelle Saint Antoine de Padoue à Llonse et nous regarderons la signification d'une chapelle puis d'un porche dans l'histoire de l'architecture .
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Nous sommes interpellé par ce porche, carré et puissant , nous ferons le lien avec La chapelle Saint Antoine de Padoue à Llonse et nous regarderons la signification d'une chapelle puis d'un porche dans l'histoire de l'architecture .
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
La chapelle Saint Antoine de Padoue à Llonse
La chapelle Saint Antoine de Padoue à Llonse est située en contrebas du village, à environ 5 km en direction du sud-est, sur le chemin qui remonte depuis la Tinée jusqu’à Ilonse, sur lequel on admirera de remarquables petits ponts en pierres sèches.
La chapelle est implantée sur un promontoire rocheux sur une fourche qui offre le choix de trois itinéraires pour rejoindre le fond de la vallée de la Tinée.
De petites dimensions, avec un auvent saillant et un petit clocher-mur muni de sa cloche, l’édifice est rectangulaire à l’intérieur, couvert par une voûte d’arêtes.
Les murs étaient autrefois recouverts de motifs floraux qui apparaissent à certains endroits sous le badigeon.
L’autel est de très belle facture. Il était accompagné d’un retable montrant saint Antoine entouré de saint Pons et saint Laurent, aujourd’hui conservé dans l’église Saint-Michel.
QUELQUES DÉFINITIONS:
Dans " le dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle" , le terme CHAPELLE est ainsi défini :, s. f. « Dans Plusieurs endroits on appelle les prêtres, dit Guillaume Durand, chapelains (capellani), car de toute antiquité les rois de France, lorsqu’ils allaient en guerre, portaient avec eux la chape (capam) du bienheureux saint Martin, que l’on gardait sous une tente qui, de cette chape, fut appelée chapelle (a capa, capella). Et les clercs à la garde desquels était confiée cette chapelle reçurent le nom de chapelains (capellani a capella) ; et par une conséquence nécessaire, ce nom se répandit, dans certains pays, d’eux à tous les prêtres. Il y en a même qui disent que de toute antiquité, dans les expéditions militaires, on faisait, dans le camp, de petites maisons de peaux de chèvre qu’on couvrait d’un toit, et dans lesquelles on célébrait la messe, et que de là a été tiré le nom de chapelle (a caprarum pellibus, capella). »
La première de ces deux étymologies est établie sur un fait. La petite cape que saint Martin revêtit après avoir donné sa tunique à un pauvre, était religieusement conservée dans l’oratoire de nos premiers rois, d’où cet oratoire prit le nom de capella. L’oratoire, depuis lors appelé chapelle, se trouvait compris dans l’enceinte du palais royal. Le nom de chapelle fut, par extension, donné aux petites églises qui ne contenaient ni fonts baptismaux ni cimetières ; aux oratoires dans lesquels on renfermait les trésors dès églises, des monastères, des châteaux ou des villes, les chartes, les archives des reliques considérables ; puis aux succursales, des paroisses, aux édicules annexés aux grandes églises cathédrales, conventuelles ou paroissiales, et contenant un autel, et même la cuve baptismale ; aux oratoires élevés dans l’enceinte des cimetières, sur un emplacement sanctifié par un miracle ou par la présence d’un saint.
Toujours dans " le dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle" le terme PORCHE est ainsi défini : s. m. Les plus anciennes églises chrétiennes possédaient, devant la nef réservée aux fidèles, un porche ouvert ou fermé, destiné à contenir les catéchumènes et les pénitents. Cette disposition avait été empruntée aux basiliques antiques, qui étaient généralement précédées d’un portique ouvert. Lorsqu’il n’y eut plus de catéchumènes en Occident, c’est-à-dire lorsque le baptême étant donné aux enfants, il ne fut plus nécessaire de préparer les nouveaux convertis avant de les introduire dans l’église, l’usage des porches n’en resta pas moins établi, et ceux-ci devinrent même, dans certains cas, des annexes très-importantes, de vastes vestibules souvent fermés, pouvant contenir un grand nombre de personnes et destinés à divers usages. Il faut reconnaître même que l’habitude de construire des porches devant les églises alla s’affaiblissant à dater du XIII ème siècle ; beaucoup de monuments religieux en sont dépourvus depuis cette époque, notamment la plupart de nos grandes cathédrales, tandis que jusque vers le milieu du XII ème siècle, on ne concevait pas une église cathédrale, conventuelle ou paroissiale, sans un porche au moins, devant l’entrée majeure.
Les porches paraissent avoir été adoptés dans nos plus anciennes églises du moyen âge. C’était, dans l’Église primitive, sous les porches ou vestibules des basiliques, que l’on enterrait les personnages marquants, les empereurs, les évêques. Aussi l’usage d’encenser ces lieux et d’y chanter des litanies s’était-il conservé dans quelques diocèses, car il faut observer qu’avant le XII ème siècle, les lois ecclésiastiques interdisaient d’enterrer les morts dans l’intérieur même des églises. Sous les porches étaient alors placés les fonts baptismaux, des fontaines dans lesquelles les fidèles faisaient leurs ablutions avant d’entrer dans la nef ; les exorcismes se pratiquaient aussi sous les porches. Il était défendu d’y tenir des plaids et de s’y rassembler pour affaires temporelles. On y exposait, à certaines occasions, des reliques et de saintes images. « Les porches des églises, dit Thiers, sont des lieux saints : 1º à cause des reliques ou des images qui y sont ; 2º à cause qu’ils sont le lieu de la sépulture des fidèles ; 3º à cause qu’ils sont destinés à de saints usages ; 4º à cause qu’ils font partie des églises ; 5º à cause qu’ils sont ainsi appelés par les conciles et par les auteurs ecclésiastiques. »
Guillaume Durand observe « que le porche de l’église signifie le Christ par qui s’ouvre pour nous l’entrée de la Jérusalem céleste ; il est appelé aussi portique (porticus), de la porte (a porta), ou de ce qu’il est ouvert à tous comme un port (a portu). »
la définition de "la chapelle : de toute antiquité, dans les expéditions militaires, on faisait, dans le camp, de petites maisons de peaux de chèvre qu’on couvrait d’un toit, et dans lesquelles on célébrait la messe, et que de là a été tiré le nom de chapelle (a caprarum pellibus, capella). »
Nous ferons alors le lien entre " Le Moscophore" portant le veau au sacrifice de la déesse Athéna, cela en lien avec la peau de l'animal qui forme le toit de la chapelle
Puis nous ferons le lien avec le porche appelé aussi portique (porticus), ou la porte (a porta), avec « Le retable de L'Adoration de l'Agneau mystique » Hubert Van eyck ( 1366-1426) et Jan Van Eyck (1390-1441) et l'adoration de l'agneau sur l'autel au volume donnant une forme de porche vouté
La chapelle est implantée sur un promontoire rocheux sur une fourche qui offre le choix de trois itinéraires pour rejoindre le fond de la vallée de la Tinée.
De petites dimensions, avec un auvent saillant et un petit clocher-mur muni de sa cloche, l’édifice est rectangulaire à l’intérieur, couvert par une voûte d’arêtes.
Les murs étaient autrefois recouverts de motifs floraux qui apparaissent à certains endroits sous le badigeon.
L’autel est de très belle facture. Il était accompagné d’un retable montrant saint Antoine entouré de saint Pons et saint Laurent, aujourd’hui conservé dans l’église Saint-Michel.
QUELQUES DÉFINITIONS:
Dans " le dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle" , le terme CHAPELLE est ainsi défini :, s. f. « Dans Plusieurs endroits on appelle les prêtres, dit Guillaume Durand, chapelains (capellani), car de toute antiquité les rois de France, lorsqu’ils allaient en guerre, portaient avec eux la chape (capam) du bienheureux saint Martin, que l’on gardait sous une tente qui, de cette chape, fut appelée chapelle (a capa, capella). Et les clercs à la garde desquels était confiée cette chapelle reçurent le nom de chapelains (capellani a capella) ; et par une conséquence nécessaire, ce nom se répandit, dans certains pays, d’eux à tous les prêtres. Il y en a même qui disent que de toute antiquité, dans les expéditions militaires, on faisait, dans le camp, de petites maisons de peaux de chèvre qu’on couvrait d’un toit, et dans lesquelles on célébrait la messe, et que de là a été tiré le nom de chapelle (a caprarum pellibus, capella). »
La première de ces deux étymologies est établie sur un fait. La petite cape que saint Martin revêtit après avoir donné sa tunique à un pauvre, était religieusement conservée dans l’oratoire de nos premiers rois, d’où cet oratoire prit le nom de capella. L’oratoire, depuis lors appelé chapelle, se trouvait compris dans l’enceinte du palais royal. Le nom de chapelle fut, par extension, donné aux petites églises qui ne contenaient ni fonts baptismaux ni cimetières ; aux oratoires dans lesquels on renfermait les trésors dès églises, des monastères, des châteaux ou des villes, les chartes, les archives des reliques considérables ; puis aux succursales, des paroisses, aux édicules annexés aux grandes églises cathédrales, conventuelles ou paroissiales, et contenant un autel, et même la cuve baptismale ; aux oratoires élevés dans l’enceinte des cimetières, sur un emplacement sanctifié par un miracle ou par la présence d’un saint.
Toujours dans " le dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle" le terme PORCHE est ainsi défini : s. m. Les plus anciennes églises chrétiennes possédaient, devant la nef réservée aux fidèles, un porche ouvert ou fermé, destiné à contenir les catéchumènes et les pénitents. Cette disposition avait été empruntée aux basiliques antiques, qui étaient généralement précédées d’un portique ouvert. Lorsqu’il n’y eut plus de catéchumènes en Occident, c’est-à-dire lorsque le baptême étant donné aux enfants, il ne fut plus nécessaire de préparer les nouveaux convertis avant de les introduire dans l’église, l’usage des porches n’en resta pas moins établi, et ceux-ci devinrent même, dans certains cas, des annexes très-importantes, de vastes vestibules souvent fermés, pouvant contenir un grand nombre de personnes et destinés à divers usages. Il faut reconnaître même que l’habitude de construire des porches devant les églises alla s’affaiblissant à dater du XIII ème siècle ; beaucoup de monuments religieux en sont dépourvus depuis cette époque, notamment la plupart de nos grandes cathédrales, tandis que jusque vers le milieu du XII ème siècle, on ne concevait pas une église cathédrale, conventuelle ou paroissiale, sans un porche au moins, devant l’entrée majeure.
Les porches paraissent avoir été adoptés dans nos plus anciennes églises du moyen âge. C’était, dans l’Église primitive, sous les porches ou vestibules des basiliques, que l’on enterrait les personnages marquants, les empereurs, les évêques. Aussi l’usage d’encenser ces lieux et d’y chanter des litanies s’était-il conservé dans quelques diocèses, car il faut observer qu’avant le XII ème siècle, les lois ecclésiastiques interdisaient d’enterrer les morts dans l’intérieur même des églises. Sous les porches étaient alors placés les fonts baptismaux, des fontaines dans lesquelles les fidèles faisaient leurs ablutions avant d’entrer dans la nef ; les exorcismes se pratiquaient aussi sous les porches. Il était défendu d’y tenir des plaids et de s’y rassembler pour affaires temporelles. On y exposait, à certaines occasions, des reliques et de saintes images. « Les porches des églises, dit Thiers, sont des lieux saints : 1º à cause des reliques ou des images qui y sont ; 2º à cause qu’ils sont le lieu de la sépulture des fidèles ; 3º à cause qu’ils sont destinés à de saints usages ; 4º à cause qu’ils font partie des églises ; 5º à cause qu’ils sont ainsi appelés par les conciles et par les auteurs ecclésiastiques. »
Guillaume Durand observe « que le porche de l’église signifie le Christ par qui s’ouvre pour nous l’entrée de la Jérusalem céleste ; il est appelé aussi portique (porticus), de la porte (a porta), ou de ce qu’il est ouvert à tous comme un port (a portu). »
la définition de "la chapelle : de toute antiquité, dans les expéditions militaires, on faisait, dans le camp, de petites maisons de peaux de chèvre qu’on couvrait d’un toit, et dans lesquelles on célébrait la messe, et que de là a été tiré le nom de chapelle (a caprarum pellibus, capella). »
Nous ferons alors le lien entre " Le Moscophore" portant le veau au sacrifice de la déesse Athéna, cela en lien avec la peau de l'animal qui forme le toit de la chapelle
"Le Moscophore"
vers 570 av. J.-C., La statue lors de sa découverte en 1863 sur l'Acropole d'Athènes.
"Le Moscophore"
vers 570 av. J.-C.,
Marbre de l'Hymette,
165 cm,
Musée de l'Acropole, Athènes (Ancien musée)
"Agnus Dei", tableau de Francisco de Zurbarán qui se trouve au musée du Prado de Madrid, en Espagne. Cette huile sur toile, réalisée entre 1635 et 1640, mesure 38 cm de haut et 62 cm de large.
puis "l'ageau du sacrifice" fait le lien avec le porche de l’église signifiant signifie le Christ par qui s’ouvre pour nous l’entrée de la Jérusalem céleste
« Le retable de L'Adoration de l'Agneau mystique » , installé en 1432
Dimensions : retable fermé : 3m50X 2m23 et retable ouvert : 3m50 X 4m61
Cathédrale de Saint Bavon, Gand.
huile sur toile par Hubert Van eyck ( 1366-1426) et Jan Van Eyck (1390-1441)
« Le retable de L'Adoration de l'Agneau mystique » , installé en 1432
Dimensions : retable fermé : 3m50X 2m23 et retable ouvert : 3m50 X 4m61
Cathédrale de Saint Bavon, Gand.
huile sur toile par Hubert Van eyck ( 1366-1426) et Jan Van Eyck (1390-1441)
"La tempête apaisée."
Evangéliaire d’Echternach, XIe s., Allemagne
Puis nous ferons le lien avec le porche de l’église qui signifie le Christ par qui s’ouvre pour nous l’entrée de la Jérusalem céleste ; il est appelé aussi portique (porticus), de la porte (a porta), ou de ce qu’il est ouvert à tous comme un port (a portu). », le port et la mer sur laquelle le Christ marche accompagné de ses apôtres. et nous ferpons le lein avec le bleu de la Chapelle de Coaraze et ses fresques
Coaraze La Chapelle bleue, fresque de Ponce de Léon,1962, " le coup de lance sur la croix"
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Chapelle Bleue, Notre Dame de la Pitié, du Gressier, Notre Dame des Septs Douleurs Coaraze
Décorée par le peintre Ponce de Léon (1964).
Coaraze