fra.BIANCOSCHOCK est un street artiste milanais à l’origine d’un courant artistique d’avant garde : l’éphémèralisme . Les « expériences » de l’artiste italien basé à Milan, entre street art, détournements urbains et performances mélangent avec beaucoup d’humour références aux icônes pop réinterprétation urbaines et installations satiriques.
fra.BIANCOSCHOCK- Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, 1,70 x 9,60 x 1,00 mt - mixed media
Pour le Street art Festival Memorie Urbane 2015 in Gaeta, Italy, le street artist milanais Fra.Biancoshock, a réalisé une installation intitulée "24/7". Une parodie du logement atelier attribué aux artistes en résidence installé au milieu d'un jardin.
L'artiste est installé au premier étage de son Échafaudage-Gratte ciel, dans l'atelier
fra.BIANCOSCHOCK- "24/7" Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, 1,70 x 9,60 x 1,00 mt - mixed media
fra.BIANCOSCHOCK-"24/7" Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, La terrasse
fra.BIANCOSCHOCK- "24/7"Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, La chambre
fra.BIANCOSCHOCK- "24/7"Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, la salle à manger
fra.BIANCOSCHOCK-"24/7" Echafaudage, gratte ciel privé, photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, l'atelier
fra.BIANCOSCHOCK- "24/7"Echafaudage, gratte ciel privé,photos by flavia fiengo / courtesy of fra.biancoshock, Gaeta Italie 2013, le rez de chaussée avec le matériel
Humour et dérision accompagnent les créations de fra.BIANCOSCHOCK pour montrer les difficultés des artistes et des petites gens dans leur quotidien. Illusion et détournement au service de l'idée d'un monde meilleur. ‘Réduire l’objet pour s’en saisir’ Né en 1975, Laurent RABIER vit et travaille à Montluçon
Il construit des architectures de cartons, de boites de médicaments, emboitées, juxtaposées
constituant des espaces en papier, habitations précaires des états d'âme de la vie actuelle
Laurent Rabier - Generic - huile sur bois - 2005 - 100 x 117 cm.
Laurent RABIER - Barak 3 - Huile sur toile - 2006 - 120 x 150 cm
Laurent RABIER s’approprient des images généralement puisées dans les médias, qu’il dissèque et reconstruit grâce à une utilisation précise de plusieurs techniques ; la sculpture comme première étape , puis la photographie et enfin la peinture.
Laurent RABIER - A way of life - huile sur toile - 2005 - 100 x 120 cm
Laurent RABIER - Fame - Huile sur toile - 2007 - 100 x 120 cm
Niant toute métaphysique où le présent n’existe réellement que lorsqu’il est l’objet d’une appréhension en acte, l’artiste construit et l’objet est là, dessiné avec la précision du cliché photographique, doté d’une signifiance universelle. Laurent RABIER réalise avec exactitude un objet, un espace en trois dimensions, miniaturisés sous forme de maquettes construites avec des emballages en carton, retravaillés ou non.
Laurent RABIER - Favel - Huile sur toile - 2007 - 100 x 120 cm
Laurent RABIER - Fenid 150 - Huile sur toile - 100 x 120 cm
De ces multiples maquettes vont naître des peintures que l’artiste aura au préalable prises en photographie afin de capter la meilleure lumière et le meilleur angle.
Laurent RABIER - Barak - huile sur toile diptyque - 2006 - 2 x 100 x 120 cm
L’utilisation de plusieurs médiums permet à l’artiste d’opérer dans une sorte de transdisciplinarité qui lui offre ce passage d’une technique à l’autre, cet entre-deux indispensable à l’art, faisant ainsi coexister des temporalités irréductibles.
Laurent RABIER - Intérieur - Huile sur toile - 120 x 150 cm
Ce phénomène de glissement fait osciller le regard entre théâtralité et planéité, entre mise en scène d’un environnement fictif et représentation réaliste d’une maquette d’architecture.
Laurent RABIER - U.N - Huile sur toile - 2006 - 120 x 150 cm
Illusions et trompe l'oeil d'objets du réel dans les peintures de Laurent RAVIER, accumulés et superposés de façon architecturale, forment des batisses de cartons en fétus de paille dérisoires et fragiles, le voile de l'apparence lisse garde la lumière des matériaux comme signifié de l'Idée